En suivant le parcours du circuit NF:
1.Concurrence de cascades depuis le « Cercle d’or », autour du lac Thinvellir
sur la faille témoin de la séparation de la plaque tectonique euro-américaine qui favorisa le volcanisme essentiel de l’Islande.
Une richesse pour la géothermie qui alimente le chauffage des villes.
Geysir, des fumeroles et le geyser à horaires réguliers. Un peu gris ce jour-là, donc:
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| Carte postale |
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Les innombrables volcans actifs au long des millénaires se réveillent régulièrement et
produisent une effervescence continue des sites, devenus touristiques.
Guillfoss avec notre exceptionnel trio de guides, Magnus, Hella et Frisé.
2.AU SUD.
Les éruptions successives produisant des strates de tuf et de basaltes, engendrent des déclivités propres à déterminer la forme des cascades issues de la fonte des glaciers qui recouvrent les hauteurs. Proches de la R1, Droites ou en escaliers.. sous les deux volcans, Myrdalsjökull et Eyjafjallajokull, fauteur des troubles aériens en 2010.
Seljalandsfoss
Skogafoss (car-wash)
Après la traversée des vastes plaines inondables et des plages de sable noir,
le site des orgues de basalte Reynisfjara; puis la ville de Vik.
"LE" VATNAJÖKULL
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En bas des flancs du glacier, dont on verra qu’une langue,
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un écomusée très didactique exploite les prélèvements et quelques spécimens de volcans vus du ciel et d’une faune invisible;
Les rennes d’importation ne sont plus dans leur réserve.
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Le lagon glaciaire Jökulsarlon fait naviguer les icebergs et le bateau amphibie.
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Des trombes d’eau, on parcourt ensuite l’immense agglomérat de laves datant de l’éruption catastrophique du Laki en 1783, couvertes de mousses, ou en forme d'écailles de tortues.
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| Dans les hautes terres, face nord. |
3.CÔTE NORD.
Après les fjords de l’est et un détour du coté du lac Lagarflöt, un hôtel avec pub pour aurore boréale, elle fut plus discrète qu'une alerte incendie, mais pas de bar!!
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plus au nord en récuperant la R1, une grande célèbre au cinéma:
Dettifoss , en deux étapes, au bout d'une marche dans les éboulis.
Au centre, autour du lac Myvatn dans le désert de lave dans les « hautes terres » :
Le site de Herrir , somptueuse variation des ocres et bleus, ça bouillonne et explose de soufre.
plus loin, les laves en éruption asséchèrent un lac en produisant un paysage de trolls géants.
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autre cascade éblouissante: Godafoss. où furent, selon la légende, jetées les idoles païennes, scellant l'adhésion au christianisme.
4.Le NORD OUEST: les fjords très peu peuplés,
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| Des provisions pour l'hiver. |
son jakusi rustique en caisses à poissons, payable par cartes et la petite station de pêche (Ch3)
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on cajole les chevaux.
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puis des heures de route pour des vues fantastiques, vers Isafjrördur encore une chute, Dynjandi.
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La péninsule de Snaefellsnes
Le volcan Snaefellsjökul, celui de Jules Verne, se réduit à une calotte, victime visible du réchauffement.
Le profil de « l’église » qui domine le port de Grundafjördur :un dessin en explique la formation.
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Ailleurs, De l’eau chaude ou minérale;
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| Gratuite.. |
L’observation des oiseaux, fut assez compromise, bien que signalée, sauf pour de nombreux cygnes et des eiders qui se refont leur tenue d’hiver, en noir et blanc.
Autres points de vue sur la plage rouille de Raudisandur,
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Proche de l’hôtel de Bredavik, perdu à mille milles de tout, un ancien établissement pénitentiaire, le petit cimetière offre un usage des colonnes de basalte.
Utiles en sièges ou stèles pour statues vivantes .
Des macareux qui ont abandonnée leur site, ne reste que l’image.
