"Chichi", dans le pays Quiché, première chaîne à la limite de l’Altiplano. à presque 2000 m d’altitude et autant de virages depuis la capitale.
Une célébrité touristique, mais avons-nous croisé une douzaine de toutous, pas sûr;
faciles à repérer puisque dépassant d’une tête les indiens, descendants de Mayas qui conservent une langue Quiché.
La ville fondée tardivement se situe non loin de Quetzaltenango, qui fut une première capitale, victime des conquérants espagnols puis du volcan.
Le marché
construit en dur, alternativement salle de sport, au centre d’un réseau de rues transformées en boutiques éphémères.
Les filles ressemblent à leurs profils en peintures.
L‘escalier intérieur rejoue l’attaque des conquistadors.
Autre escalier, le parvis de l’église Santo Tomas, 18 marches sur l’ancien soubassement de temple maya -nombre des mois du calendrier.
Dans la nef se pratiquent des dépôts d’offrandes et libations au sol -quoique bien rangés, ce n’est pas le San Cristobal des Chiapas de mon souvenir.
Dans la chapelle, les offrandes. |
self. |
Repos sous un faux arbre de la Chapelle. |
les jupes, barrées d’une croix maya, les panneaux sans spécialité, ils servent à tout, de sac à provision; noué, de porte bébé;
Huipil géo.. |
Jupe, C'est votre taille ?... |
appelé « tzul » si le tissu est plié sur la tête pour supporter les colis ou les paniers.
On remballe les icônes, vite fait.. |
marimba géante , le doute ... |
Le cimetière :
Vue sur la colline, du haut de la descente à pic de la 8è rue.
Au pied du mur, un marché aux bestiaux , il est midi, on remonte des porcs dans le 4X4; des veaux attendent leur tour. Les paysans ont-ils trouvé preneur, ou inversement…
Une ville miniature colorée à l’urbanisme chaotique; pauvres tombes en tas de terre contre nouveaux « immeubles » riches. Un vrai catalogue d’architecture.
Chronologie. |
Riches avec dédicace ou anonymes
au risque de l'éboulement.
Un "espion" au coin d'un monument s'avéra vendeur de sucres d'orge, plantés façon cierges.
L'énigme: |
Les récits héroïques.
La dernière divinité ailée. |
L'équipe de coureurs automobiles sur circuit.. |
Puis la Remontée dans le centre et descente de la 9ème rue vagabonde vers le restaurant voisin (poulet au menu, miam!) du Musée de masques.
Le musée « de la chamane » :
Un mur de masques noirs - vague sensation des mouches noires dont les piqures nous harcèlent encore. Autres masques de cérémonie, tous les animaux sacrés ou non
Notre cher Hernan se déguise en conquistador, oubliant le bas..
Les parapluies de couleurs et l’organisation des couleurs plus « art contemporain » que primitif.
Vers le site sacré en grimpant la colline sacrée Pascual Abaj : un autel de pierres cerné d’un muret où se dressent des stèles brutes de pierres polies.
Tous en rang bien concentrés: (vous ne les reverrez plus ensemble).
La chamane.
L’opération vise à vérifier l’absence de mauvais esprits. Lecture d’un calendrier;
Remontée de la rue des murs peints: la magie continue:
On doit reconsidérer les traditions mayas après le street art et les cafés dancings:
Après coup, on peut relier le site avec la région proche du lac Attical: une même évolution des modes « internationales » du muralisme, né au Mexique voisin avec Diego Rivera.
Guggenheim ! Top du colonialisme artistique inverse.. |
fantastique |
ou paysager |
Arrêt des bus en face d’un bâtiment, ancien palais ou monastère, l’hôtel de luxe Santo Tomas: autour d’un patio fleuri, des numéros de chambres en passion du Christ, une soirée fun en vue ; et galerie de collections d’art colonial populaire- et boutique !
Chambre 3. |
Chambre 4 ! |
Et enfin des Oiseaux. ..
(une technique de broderie à la main sur tissage) une volière silencieuse de toutes espèces bigarrées.
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