TAGHIT
sous les dunes, le quartier neuf et un marabout. pour l'échelle.
Le site néolithique dans la chaine rocheuse qui domine l'oasis.
On repère les restes d'un forteresse au dessus de l'oasis. |
Petit commerce et thé bien chaud.. |
les dromadaires aussi espèrent les touristes..
Abri sous roche.. |
Cherchez la gazelle perdue... |
gravures de quadrupèdes,
La cité ancienne, du XIè fut le site d’un poste français de 1901, au sud de Bechar.
Une bataille opposa les troupes françaises aux nomades Zayanes.
Proche de la frontière marocaine, l’oued rejoint le Draa.
L’oasis, sous les palmiers, quelques lopins de culture, chou, poivrons, et pour le cas où ?? des canoés, surveillés par de grands jeunes gens, à la peau sombre, venus du sud. Le Mali est en ligne droite.
Sans compter une pollution de déchets de plastique, comme le long de la route qui continue, au pied des dunes monumentales. Magiques..
Beni-Abbès
Une cité du nom de la tribu Bani Abbas, fondée au XIIè siècle. Histoire assez compliquée. Le ksar fortifié date du XVIè.
Les compagnies de méharistes créées en 1903 par l’armée française occupèrent l’oasis.
Sur une colline rocheuse dominant l’Oued Saoura. qui donne son nom à la région.
L'ancien Ksar :
Avec vue sur la palmeraie. Au centre ville, un restaurant sympa |
dans la grande maison qui fait boutique de vêtements. Plus loin, notre Hotel quasi vide, rares "touristes de l’intérieur", des employés décoratifs, mieux vêtus que les couettes sans housses..
Le Ksar, XVIème, en fonction..
Passages sous voute, qui desservent quelques maisons à louer,
portes cloutées mais une déco assez surprenante, dont le caractère touareg échappe un peu.
« La table » garantit que « ma maison est ici », elle ne bougera pas…
où l’on voit que la construction s’établit sur des bases solides… au dessus d’une source, intarissable .. comme les commentaires de Ladi. KAdA, lui, est toujours silencieux.
La « Fraternité » du Père de Foucault :
Une nef à trois travées, étroites. |
La Chapelle , une nef étroite et haute de plafond, la charpente comme l’armature des piliers en troncs de palmiers, conduit au choeur plus que modeste,
Les peintures du Père, au mur, les archives contiennent des manuscrits et les photos d’époque de ses missions au Sahara après 1904. Il fut assassiné à Tamanrasset en 1916.
Linguiste il traduisit les évangiles en langue touareg le Tamahaq, et rédige un dictionnaire.
Il ne reste actuellement sur place que trois anciens, un seul diacre, qui nous commente leur vie frugale, pour le moins.
Vers Timimoun..
quelques belles dunes:
En forme de tente.. |
La route , presque droite continue, encore 200, encore ? 90 ..
Stations-service, multifonction..
"Risque de congères." |
A la frontière de la willaya, ( découpage équivalent à un département administratif), on attend la relève de la brigade. Combien d’heures à les attendre, au départ de chaque étape…
Un arrêt dans une petite ville charmante, « vous êtes les bienvenus ».
Nous devons être très cocasses..
Une prison.. un coin tranquille, loin de tout.. |
Des ksars abandonnés.. |
L’arrivée à Timimoun dans un campement de grand luxe console (ou pas) avec vue sur la palmeraie et la grande étendue stérile, la sebkha qui fut sans doute un lac, navigable..
Tentes individuelles avec cabinet de toilette en dur.. |
Le poulet à la braise, accompagne le soleil couchant.
En papillote, l'extraction. Ça réchauffe... |
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